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esmé anne platt evenson cullen


Feat; Elizabeth Reaser

SURNOM; Maman ^^
ÂGE PHYSIQUE; 26 ans
ÂGE RÉELLE; 116 ans
DATE DE NAISSANCE; 03 juillet 1895
DATE DE LA TRANSFORMATION; 1921
LIEU DE NAISSANCE; Colombus, Ohio
STATUT CIVIL; Mariée à Carlisle Cullen
DON; Amour inconditionnel
GROUPE; Cullen

i am what i am

CARACTÈRE:Je suis une mère poule. Voilà ce que je suis. Tous mes défauts et toutes mes qualités tournent autour de ce critère. Je suis protectrice, douce, aimante. Je déteste la bataille et lui préfère de loin une bonne et vieille discutions. Rien de mieux pour régler ses problèmes que d'en parler, n'est-ce pas ? Toutefois, ne touchez pas à un cheveux de mon mari ou des mes enfants, puisqu'une mère en colère peut faire des ravages. Mais en général, je fais partie de celles qui restent calme peu importe la situation. Je suis toujours très diplomatique et ne me prononce que lorsque j'ai une bonne raison de le faire.
Avec les inconnus, je suis le genre de personne qui les aborde avec un grand sourire. Je ne juge personne au premier regard et je donne sa chance à tout le monde. Tout le monde a le droit à l'erreur, je fais partie de celles qui pardonne vite, si je crois vraiment que le pardon est ressenti.
ASPECT PHYSIQUE:

MANIES: J'ai tendance à être trop protectrice avec les gens que j'aime...
PHOBIES: Perdre ceux à qui je tiens le plus.

RÉGIME ALIMENTAIRE: Végétarien

the story of my life

HISTOIRE:

Née en 1895 à Colombus en Ohio, ma mère ne cessait de me répéter que je devais apprendre à grandir, à devenir une jeune femme. Je passais mon temps à rêver et à me faire des histoires, ce qu'elle détestait particulièrement. Sa propre mère lui ayant interdit de rêver, elle n'allait pas permettre à sa fille unique de se ruiner en le faisant. Je lui en voulais pour ne pas comprendre. Avec les années, tout ce qu'elle voulut, c'était que je maris un homme convenable, respectable, qui avait beaucoup d'argent et une bonne réputation. Je ne voulais rien savoir du mariage à cette époque, jusqu'au jour où je suis tombée d'un arbre et me suis retrouvée avec ce charmant Dr Cullen pour me la recoller. Lui, je l'aurais épousé sur le champ. Une aura de bonté semblait l'entourer et j'avais simplement envie de me laisser envelopper dans cette aura. Évidemment, il était beaucoup plus vieux que moi, je n'avais que 16 ans à l'époque, alors que lui devait approcher la trentaine, il semblait si mature. Je savais qu'à ses yeux, je passerais plutôt pour une petite sœur qu'il serait drôle d'avoir plutôt que pour une jeune femme à marier, qui avait un besoin irréel de ce docteur aux yeux étrangement dorés. Démoralisée comme jamais, je quittai son bureau avec la certitude que je ne le reverrais jamais...Sauf peut-être dans mes rêves, puisqu'il sembla prendre une grande part de mon esprit durant les mois qui suivirent notre rencontre. Toutefois, continuer de rêver à ce charmant docteur n'enchantait guère ma mère qui me cherchait désespérément un homme. S'en était presque pathétique. Mais Mr. Evenson, de son petit nom Charles, semblait très galant et se soucier de moi. Il était doux, romantique, gentleman. Il plaisait à ma mère et c'était le plus important (à ses yeux). Quant aux miens, il prenait de la valeur de jour en jour. La journée où il avait mis un genou par terre et m'avait promis de prendre soin de moi jusqu'à ce que la mort nous sépare, cette journée je l'avais attendue avec impatience, jusqu'à ce que je me mette à la détester, à le détester. Le jour de notre mariage, j'aurais dû m'enfuir quand j'en avais eu l'occasion. J'aurais dû partir et faire ce que j'avais réellement envie de faire: enseigner. Je voulais que les enfants rêvent comme j'avais rêvé, je voulais qu'ils voient que la vie n'était pas aussi grise qu'elle semblait l'être. Je voulais qu'ils apprennent des nouvelles choses et qu'ils s'illuminent devant leurs trouvailles. Je ne voulais pas me marier, même si Charles était un très bon prospect, au premier abord. Mais s'il était un bon prospect, il était toutefois un très mauvais mari. Notre lune de miel, je la passai à moitié inconsciente, obligée de me soumettre à tout ce que monsieur voulait. De retour à Colombus, cela ne changea pas. Je quittais la maison le jour, et essayait de revenir le plus tard possible pour le trouver endormi. Mais cela n'arrivait jamais. Alors qu'il sentait ma présence dans notre luxueuse demeure, il m'empoignait par le bras et me jetai sur le lit, tandis que je rêvais de liberté.
Son départ à la guerre fut un moment de répit. Enfin, je pus savoir ce que je voulais vraiment dans la vie: enseigner. Je ne voulais plus avoir de mari, je voulais partir, changer le monde, un enfant à la fois. Mais il m'était interdit de le faire, pas tant que Charles serait vivant. J'espérais qu'il soit emporté par la guerre, mais il me revint sain et sauf quelques années plus tard. Je lui en voulais d'avoir survécu. Et quelques mois après son retour, j'étais enceinte. Avais-je vraiment envie d'élever mon bébé dans cette famille qui n'en était même pas une ? Une nuit, j'ai fait mes bagages et je suis partie, avec le peu d'argent que j'ai pu trouver. Prendre la voiture aurait fait trop de bruit et je l'aurais réveillé. Je suis partie à pied, en solitaire, avec seulement un petit fœtus pour me tenir compagnie. Je me suis rendue chez une amie au nord, qui habitait un petit village paisible. Elle nous a accueilli, mon bébé et moi. Même si j'étais enceinte, j'ai pu faire ce que je voulais, soit enseigner. C'était tellement gratifiant. J'adorais les enfants et me pâmait devant leur merveilleux sourire.
Quelques huit mois après mon départ, j'aperçu enfin les beaux yeux de mon petit garçon. Mais ce bonheur ne dura pas longtemps, puisqu'il était faible. Je le sentais, je le voyais. La mort rôdait autour de lui et je ne pouvais rien faire... Quelques jours plus tard, il mourra dans mes bras. Je n'avais alors plus rien auquel me raccrocher. Ma vie perdait son sens... J'avais l'impression de tomber dans un gouffre duquel il m'était impossible de sortir... et c'est ce que je décidai de faire. Je me laissai tomber dans un gouffre... Un gouffre qui se présentait plutôt sous les apparences d'une falaise.
J'étais morte. J'en avais la certitude. J'étais bien, tous mes problèmes me semblaient résolus. Jusqu'à ce qu'une douleur atroce m'envahisse et me tire de ma torpeur. J'en voulais à celui qui m'avait ramené. Mais quand je vis ses yeux, je ne put m'empêcher de le pardonner instantanément. C'était le Dr Cullen, cet homme que je n'avais jamais oublié. Il me proposait une autre vie, une autre chance. Si j'étais pour être avec lui, je n'avais aucun problème à la vivre. Edward, son compagnon, devint alors mon frère aux yeux des humains. Je le croisais très peu, par contre. Il semblait avoir d'autres chats à fouetter. Des sentiments ne tardèrent pas à s'éveiller entre Carlisle et moi, c'est pourquoi nous nous mariâmes quelques années à la suite de ma transformation. Par la suite, Carlisle est tombé sur une jeune femme blonde, du nom de Rosalie. Celle-ci allait devenir la compagne d'Edward. Enfin, c'était ce que nous souhaitions, jusqu'à ce que nous remarquions qu'il n'y avait aucune chimie entre ces deux-là. Du moins, pas une chimie sentimentale. S'ils s'entendaient bien, ils se tapaient sur les nerfs comme une sœur et son frère peuvent le faire, pas comme un couple. Avec l'arrivée d'Emmett dans la famille, cela a pris tout son sens. Et nous sommes devenus une famille, dont j'étais la mère. Enfin, mais vie reprenait son sens. Alice et Jasper nous on rejoint par la suite, et Bella est finalement arrivée dans la vie d'Edward. Tant qu'elle faisait Edward sourire, elle me faisait aussi sourire. C'était le plus important.

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