NEW SUN
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -21%
LEGO® Icons 10329 Les Plantes Miniatures, ...
Voir le deal
39.59 €

Partagez | 
 

 
Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyMer 21 Déc - 21:56


VA CHIER!

Ça m`emmerde toute cette incompétence! Pourquoi il faut toujours que nous faisions affaires avec des demeurés qui ne savent même pas comment calculer leur monnaie! Bande d`idiots, il m`enrage! Je serrais les poings et un grognement mauvais s`évacua de ma bouche. L`Américain en question, le con si vous préféré, sursauta et trembla en tentant de compter les billets de cent plus rapidement. Je le regardai avec plus d`insistance et était secoué par des spasmes de rage.

GROUILLE, ESPÈCE D`IMBÉCILE!

Il prenait encore trop son temps à mon goût et lorsque j`allais finalement me jeter à son cou pour le décapité, cette saleté d`humain me tendis en tremblant notre part du butin. Il recula ensuite en grelotant comme si il faisant moins cent degrés Celsius et monta maladroitement dans sa voiture avant de partir à toute vitesse comme si sa vie en dépendait, ce qui était d`ailleurs le cas, il le m`hériterait! Je me retournai vers Watson qui me dévisageait, les bras croisé sur sa poitrine. Je levai les yeux au ciel et lui tendis les billets verts qu`elle agrippa avec son adresse habituelle. Je cru utile de lui dire :

-Ben quoi, les humains sont si lent! On devrait arrêter de faire affaire avec eux, ils sont trop débile pour arriver à faire la job comme du monde!

Je me mis à m`éloigner un peu plus dans la pénombre de la ruelle de New-York avant de me retourner pour lui dire, avec de grands gestes :

-Il est si difficile de trouver de la main d`œuvre compétente de nos jours. Je me rappelle qu`il y a cinquante ans, on arrivait à avoir deux fois plus de profit pour une qualité au moins quatre fois supérieur.

Je soupirai en grognant légèrement. Watson m`avait écouté sans broncher mais je n`étais pas d`humeur à une morale de sa part, alors je lui fis un signe de tête pour qu`elle me suive. Je marchais à un rythme humain, comme de toute façon notre prochain lieu de paye n`était pas très loin. Cette nuit sans Lune nous couvrait totalement et même ces imbéciles d`humains n`auraient pas pu voir la différence entre une poubelle et nous avec une pareille noirceur. Olena était retourné à ma droite et je la regardais un instant en soupirant. Je détestais être ici. Tout le clan était occupé ailleurs en Europe et nous étions donc les seuls disponibles pour aller réclamer notre du en Amérique. New-York, quelle ville pourrie! Les rues étaient sale, l`ambiance était lourde et l`air était beaucoup trop fraîche, j`avais l`impression de respirer la peur des gens! Bon sens que c`est laid cet immeuble! Eurk, on pourrait le réduire en un tas de poussière qu`il serait plus agréable à regarder que maintenant. En plus c`est quoi cette idée de le peindre en rose! Rose, c`est pas une couleur, c`est de la morve de rouge! Et encore, au moins la morve à une fierté, pas comme ce truc semi-rouge qui donne envie de vomir. Je tournai la tête vers le bâtiment voisin. Je fis la grimace. Mais merde, ils n’ont pas de goût dans ce trou américain? La grosse pomme! Pff, je dirais plutôt la grosse merde! Je baissais la tête vers mes souliers qui commençaient à se mouiller de gouttelette d`eau sorti de je-sais-pas-où. Seigneur que j`avais hâte de partir d`ici! Il ne nous restait plus qu`une récolte avant de rentrer à la maison.

Nous arrivâmes rapidement au coin de ruelle en question où cet humain appeler Frank, un nom horriblement lamentable à mon avis, devait nous remettre nos cinq cent millions de dollars. Comme d`habitude, personne n`était là! Je me retournais en le constatant et commença à rager sur place :

-SALETÉ DE CON!

Il était trop attardé pour se pointer à l`heure! Est-ce qu`un vampire était déjà arrivé en retard dans sa vie? NON!! Je regardai Watson en pompant ma rage. Son regard me calmait, mais j`avais vraiment envie de foutre le camp!
Revenir en haut Aller en bas

Olena Watson

Olena Watson


Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Forks


Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyMer 21 Déc - 22:33

L'Amérique. C'était l'endroit où venaient les gens qui avaient échoués pour se refaire une nouvelle vie. En arrivant ici, ils avaient des rêves, des espoirs. Puis ils terminaient à faire le taxi pour les grand PDG des multinationales. Jamais aucun de ceux qui venaient ici ne trouvaient ce qu'ils cherchaient. L'élite était réservée à l'élite. Aucun moyen d'y pénétrer. J'eu presque pitié pour ces immigrés... Mais finalement non. C'étaient leur problème s'ils n'avaient pas encore réalisé que l'Amérique était un trou sans fond dans lequel pour vous aviez de rêve, plus vous vous enfonciez. Certains d'entre eux avaient rêvés trop grand. Pour se sortir du trou et de la misère, ils avaient décidés de faire affaire avec nous. Alors que nous semblions être des sauveurs, la solution miracle, ils réalisaient aujourd'hui l'ampleur de la merde dans laquelle ils venaient de tomber. C'était pire que s'ils étaient resté sur le chemin légal. Eux non plus je ne pouvais les plaindre, puisque c'était grâce aux intérêts qu'ils s'étaient amassées que je m'étais payé mes nouvelles chaussures. C'était de magnifique Oscar de la Renta que j'avais dégoté dans l'après-midi. Une pièce de collection. Je leur jetai un coup d'oeil, les trouvait encore plus magnifique à mes pieds que dans la vitrine. Il fallait dire que j'avais toujours eu du bon goût lorsqu'il était question de mode.
Volodymyr se retourna alors vers moi et me tendit la liasse de billet. Je le saisi d'un mouvement agile, comprenant qu'il avait enfin fini avec cet imbécile d'humain. Je ne comprenais toujours pas pourquoi il faisait affaire avec eux. C'étaient de la nourriture, et il ne fallait pas jouer avec la nourriture. Encore moins faire des affaire avec eux. « Ben quoi, les humains sont si lent! On devrait arrêter de faire affaire avec eux, ils sont trop débile pour arriver à faire la job comme du monde! » J'étais entièrement d'accord. Mais d'un autre côté, c'étaient eux qui faisaient tourner l'économie ici. Les vampires possédaient bien une petite partie du capital, mais les humains pouvaient se révéler être une vraie mine d'or. « Il est si difficile de trouver de la main d`œuvre compétente de nos jours. Je me rappelle qu'il y a cinquante ans, on arrivait à avoir deux fois plus de profit pour une qualité au moins quatre fois supérieur. » Je voyais très bien qu'il était en plein délire de rage face aux humains et cela ne faisait que m'amuser. « Les temps changent, mon cher. Il faut faire avec. » J'avais toujours l'argent que Volodymyr venait de récolter dans les mains et je décidai de le mettre en sécurité dans mon décolleté. Personne ne viendrait le chercher là. Nous nous dirigeâmes ensuite vers notre seconde destination. Il n'y avait même pas de toute à avoir, j'étais certaine qu'on nous poserait un lapin. Je n'avais jamais vu quelqu'un remettre cinq cent millions de dollars à temps. Pourtant, Volodymyr semblait y croire, lui. Nous marchions côte à côte dans le noir, invisibles dans cette rue particulièrement mal éclairée. J'avais presque envie de faire irruption dans une maison et de repartir avec les plus beaux bijoux que les habitants possédaient, toutefois je voyais mal comment ils pourraient avoir des objets de valeur dans ce trou. Je faisais très attention où je marchais, ne souhaitant pas salir mes nouvelles chaussures. « SALETÉ DE CON! » J'haussi les sourcils devant la mine furieuse de mon créateur. « Tu t'attendais à quoi ? À ce qu'il débarque gentiment, pile à l'heure, et qu'il te donne tout son argent ? » J'échappai un rire puis roulai les yeux au ciel. « Ce que tu peux être désagréable quand tu veux. Détend-toi. S'il ne vient pas... Eh bien c'est son problème. Sa famille risque d'y passer, son compte en banque aussi, mais c'est tout de même son problème. » Je m’accotai sur un mur, levant une jambe devant moi. J'étais vraiment très fière de mon dernier achat. Mes souliers étaient vraiment splendides.
Revenir en haut Aller en bas

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyJeu 22 Déc - 10:21


Ah, quelle merde! Je regardai Watson qui avait totalement raison, comme toujours. J`admirai ensuite son nouvel achat. Elle avait du aller se payer ça alors que je me démenais pour négocier notre rendez-vous. Non, se serait plus quand on s`est arrêter pas loin du centre ville pour déjeuner. Ouais, ça devais être à ce moment-là. Peu importe, elle aurait la chance de s`en payer d`autre avec notre prochaine récolte. Si cette vermine humaine se décidait à venir!! Au bout de deux minutes, je n`en pouvais plus et je demandais à Watson l`adresse de son appartement ainsi que de celui de son ex-femme. Je comprenais pourquoi elle l`avait quitté, il était lent à agir. Et ça m`étonne qu`il est réussi à produire deux enfants! Je regardais la jambe toujours exhibé de Watson et lui dit :

-Ça te dirait un petit massacre?

Un sourire sadique se dessina sur mes lèvres et je m`apprêtais à partir vers la famille de Frank, bon sens que ce nom est laid! Seulement, parce qu`il y a toujours un truc qui nous empêche de nous amuser, le gars débarque en courant et ce dirige vers moi. Il s`arrête en se casser presque la gueule sur le ciment et tente de me parler. Évidemment, comme cet humain n’est pas capable de respirer et de courir en même temps, là il halète comme un chien. Je lui accorde un regard furieux et il se met à gémir :

-Par pitié, laisser moi plus de temps, j`aurais bientôt votre argent!

Mon regard devint noir. Je fis quelques pas vers lui, ce qui le déstabilisa tellement qu`il trébucha en tentant de reculer lamentablement. Je me penchai pour être à son niveau et lui dit, en détachant bien mes mots :

-Est-ce que tu as notre argent?

Il secoua négativement la tête très longtemps. Je lui dis ensuite, toujours sur le même ton maîtrisé :

-Tu sais, donner tout notre cash à ta femme et tes deux bâtards pour qu`ils te pardonnent, c`est vraiment pitoyable.

Frank, le gars au nom horrible, tenta de fuir mais je refermai ma paume sur son cou et il se mit à geindre de douleur alors que je lui aspirais tout son énergie. Je me tournais vers Watson qui devais trouver cela ennuyeux de ne pas participé. Je lui dis :

-Les prochains sont pour toi, ma chérie. Tu as carte blanche, mais fait attention de ne pas mettre de sang sur tes nouvelles chaussures.

L`humain fini par s`écraser contre le sol, sans vie. Je me relevai et essuyai ma main contre ma cuisse. Ce truc gigotant avait une énergie faible et puante, ah, quelle horreur de devoir tolérer que de tels insectes vivent! Je poussai le cadavre du bout de mon pied jusqu`à une poubelle et le laissa là. Voilà tout ce qu`il m`héritait pour avoir asseyez de nous avoir! Je regardai un instant Watson et nous partîmes en même temps vers l`adresse de cette ex-femme.
Revenir en haut Aller en bas

Olena Watson

Olena Watson


Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Forks


Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyJeu 22 Déc - 12:09

« Ça te dirait un petit massacre? » Un sourire très peu rassurant se dessiner sur mon visage. Les massacres. Voilà ce que je préférais. J'adorais voir ces petits humains faibles se battre contre moi, essayer de me blesser alors que j'étais intouchable. Voir la peur dans leurs yeux, cela me faisait bien rire. De retour les deux pieds sur terre, je fouillai dans la poche arrière de mon jeans, où j'avais noté toutes les adresses utiles. Généralement on s'en servait très peu, mais je n'avais pas pris la peine d'apprendre celle de l'ex-femme de Frank. Alors que je la cherchais sur mon papier, ce dernier apparu. Je levai à peine les yeux de mon papier, mais ne put résister à un petit gloussement lorsqu'il failli se démolir le visage sur le béton. Cela aurait pu être très drôle. « Par pitié, laisser moi plus de temps, j`aurais bientôt votre argent! » Je remis le papier dans ma poche et m'approchai un peu. Avait-on l'air de laisser quelqu'un partir avec notre argent parce que nous avions pitié de lui ? Oui, il faisait pitié à croire ça. Trouvant qu'il n'en valait pas la peine, je retournai m’accoter sur le mur, portant une attention particulière, cette fois, à mes ongles. Parfaitement limés, ils me faisaient de très belle main. Je devais dire que, depuis que j'étais devenue vampire, je me trouvais très peu de défaut. Le venin avait été très efficace et avait fait un meilleur boulot que n'importe quel chirurgien. Ces starlettes à Hollywood devaient bien m'envier. Il faudrait que j'aille me promener par là un jour, juste pour voir leur réaction... Mais le soleil était à éviter. Je ferais donc irruption de nuit. « Est-ce que tu as notre argent? » Dans une belle robe à paillette et avec mes nouvelles chaussures, je passerais évidemment pour le clou de la soirée, éclipsant ces wanna be pleine de défaut qui se croyaient supérieur aux autres. « Tu sais, donner tout notre cash à ta femme et tes deux bâtards pour qu`ils te pardonnent, c`est vraiment pitoyable. » Je pourrais peut-être même en prendre une comme repas. Quoi que leur ego démesuré devait avoir affecté leur sang. Elles ne seraient probablement pas aussi succulentes que des jeunes femmes pures et sans taches, mais elles valaient mieux que rien du tout. Et puis, cela en ajouterait à mon mystère. « Les prochains sont pour toi, ma chérie. Tu as carte blanche, mais fait attention de ne pas mettre de sang sur tes nouvelles chaussures. » Je quittai mon point d'appui et me dirigeai vers Volodymr, heureuse que nous puissions enfin partir. Je jetai un dernier coup d'oeil à ce pauvre humain qui n'avait su remplir les exigences et qui se retrouvait alors sur le sol, sans vie. « Allons voir cette ex-femme, dans ce cas. » Celle-ci coopérerait probablement plus que l'homme. Elle avait des enfants à protéger et tenait sûrement plus à sa vie. Elle au moins n'avait pas déjà fait affaire avec des vampires. Lorsque nous fûmes éloignés de la scène du crime, je ne pus m'empêcher de commenter: « Tu sais que tu aurais pu le garder en vie. Lui avoir fait assez peu, dans deux jours il t’aurait apporté tout l'argent. » Tuer quelqu'un n'était vraiment pas le meilleur moyen de s'assurer que nous aurions notre argent. Un mort était inutilisable, tandis qu'une personne à qui nous avions fait assez peur coopérait en général assez rapidement. Certaines pensaient que s'enfuir était la meilleure solution, mais c'était bien la pire. Je remarquai soudain que nous avions changé de quartier. Celui-ci était beaucoup plus luxueux, un endroit parfait pour cacher cinq cent millions de dollars. Et puis cette ex-femme devait bien avoir un ou deux beaux bijoux de valeur. J'avais envie de m'amuser et je voyais la maison où vivait l'ex-femme. Sans aucun doute, j'allais la réveiller. Et j'allais y prendre un malin plaisir. « Tu m'attends ici ? » J'avais déjà un plan en tête. Il pourrait me rejoindre plus tard, mais j'avais une folle envie de jouer les victimes...
Revenir en haut Aller en bas

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyJeu 22 Déc - 13:48


Je levai les yeux au ciel lorsque Watson me dit que j`aurais pu éviter de tuer Frankette la mauviette. Bien sûr que c`était totalement inutile et irresponsable de l`avoir ainsi tué alors que nous aurions pu avoir tout ce que nous voulions après lui avoir un peu cassé des deux bras et brouillé la mâchoire! Je soupirai bruyamment puis accéléra le pas. La chose que je haïssais plus en ce monde, avant même ces bêtes pleurnichardes qu`étaient les humains, c`était de devoir attendre. Rien qu`a y penser, la colère montait en moi. Bon, arrêtons de dramatiser, deux jours c`est pas si long que ça pour un vampire. Ah mais merde, ta gueule idiot, oui c`est super long! Je regardai ma très chère Olena à ma droite qui ne semblait pas le moins du monde affecté par le changement de quartier. Je m`y attardais un moment, ricanant lorsque je constatais que leurs voitures de luxe valaient au moins trois fois moins que celle que j`avais acheté pour le plus bas de nos membre. Bref, un humain en restait un, peu importe la taille de son portefeuille ou celle de son courage. L`un comme l`autre pouvait se faire facilement dérober.

Nous arrivâmes enfin à la fameuse adresse. Watson semblait beaucoup plus emballé et même que je sentais qu`elle voulait faire le coup en solo. Tant mieux pour elle, ça pourrait la changer de nos petits meurtres ennuyeux habituels. En Ukraine tout roulait si bien qu`il n`y avait rien de majeur à régler, sauf lorsqu`un vampire étranger qui était trop attardé pour s`être informé de nous, venais troubler notre paix et chasser NOTRE nourriture. Il se faisait alors gentiment décapité et joyeusement brûlé. Ah ah, c`était à mourir de rire de les voir tenté de lutter! AH AH AH!!!

Watson me demanda d`attendre à l`extérieur. Je la regardai avec un regard malicieux et finis par lui faire un sourire amusé. Ah, mon très cher amour, je vais te laisser faire tout ce que tu veux, mais je ne vais pas attendre gentiment pour manquer le spectacle. Après tout, lorsqu`il y avait du divertissement, j`avais tout mon temps! Je lui fis un signe de la main pour qu`elle entre la première dans la maison de luxe et je la suivis lentement en la laissant libre de ses actes. Je pris la route de la cuisine où j`observai la peinture trop colorée et la tapisserie mal collé. Pas de doute, c`était bien des incompétents qui vivaient ici. Je m`assis à la grande table avec beaucoup trop de chaises. Il y avait des bruits à l`étage, probablement dans les chambres. Je mis mes pieds sur la table et une petite respiration rapide attira mon attention. Je souris en voyant, tremblant dans un coin, un petit chien de la taille d`un chihuahua. Il avait l`air âgé et très effrayé. Pauvre petite bête. Je reculais ma chaise et étira le bras pour saisir l`animal par la peau du cou. La bête de couleur crème se laissa faire et je revins à la table et déposa l`animal sur mes cuisses. Ces petits tremblements effrayés augmentèrent quand je commençai à lui flatter le dos. Quelque chose de gros fut lancé dans l`escalier et des halètements de douleur me parvinrent. Comme j`ignorais l`âge des enfants de Frankimoche, je ne me prononçai pas sur l`identité de la personne. Un simple mur me séparait de l`action, mais je pouvais sentir la peur et le sang de là où j`étais. L`humain rampa et je souris en l`entendant crier. Ah Watson, elle avait toujours eu ce don pour torturer les gens! Il y avait beaucoup de mouvements l`autre côté mais je ramenai mon attention sur cette petite femelle. Elle avait cessé de trembler et je caressai sa petite tête fragile. Elle ferma ses minuscules yeux et de je déposai un baiser sur son cou chaud. Pauvre animal, elle n`aura bientôt plus de famille si Watson continue à se défouler de la sorte. Pas grave, je vais la prendre avec nous, elle me fera un bel animal de compagnie! Je me demande comment elle s`appelle?
Revenir en haut Aller en bas

Olena Watson

Olena Watson


Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Forks


Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyJeu 22 Déc - 16:38

Ne pouvait-il jamais faire ce qu'on lui demandait ? Je traversai la rue et ouvrit la porte sans problème, faisant sauter la serrure au passage. Dommage collatéral, il faudrait changer le verrou. J'humai l'air, l'odeur de trois humains endormis me parvenant au nez. Si je voulais mon argent, j'allais devoir les garder vivant un petit moment. Du moins, la mère devrait rester vivante. Je regardai mon acolyte s'installer dans la cuisine et s'occuper du chien. Je roulai les yeux et montai au deuxième en silence. Arrivée sur le palier, je me fiai aux odeurs et entrai dans la chambre principale. Une femme était endormie, paisiblement, ne se doutant aucunement de se qui l'attendait. Je ne voulais pas la déranger, mais ne put m'empêcher d'ouvrir la lumière de sa chambre pour mieux voir les bijoux qu'elle possédait. J'ouvris le coffre qui était sur la commode pendant qu'elle s'éveillait tranquillement. Prenant un très joli collier, je me retournai vers elle. « Combien vous a t’il coûté ? » Elle sembla surprise de ma présence et s'enfonça dans son lit, remontant les couvertures sur elle, se maîtrisant pour ne pas crier et réveiller les enfants. Je pouvais lire dans ses yeux qu'elle était apeurée. C'était marrant. Je passai la collier autour de mon cou pour voir ce dont il avait l'air, puis me retournai pour observer le résultat dans le miroir. Même si j'étais dos à elle, je la voyais toujours dans le reflet de la glace. « Vous savez, votre ex-mari nous devait beaucoup d'argent. Comme il est mort, c'est à vous que reviennent ses dettes. » Je fis encore demi-tour sur moi-même pour lui faire face, mettant le collier dans ma poche. Elle venait de régler un millionième de sa dette. Il lui en faudrait encore beaucoup de collier si elle voulait rester en vie. « Frank nous devait 500 millions de dollars. J'espère que vous les avez ? » Je me demandais si elle n'était pas sur le point de tomber dans les pommes. Crispée comme elle était, elle aurait bien pu. Encore enfoncée sous ses couvertures, elle devait se demander si elle était en train de rêver. Pour lui prouver que non, je m'approchai d'elle lentement, puis tendis ma main sous sa mâchoire. Le contact entre ma main et sa peau raviva ma soif que j'avais réussi à oublier jusqu'à présent. Mais pas tout de suite, je ne devais pas salir mes nouvelles chaussures. Ma main glissa jusqu'à sa gorge et je le fis lever d'un bond. Comme un chien, elle obéit sans joncher. Elle souhaitait probablement épargner sa progéniture. Des larmes coulaient sur son visage et cela m'amusa. Lorsque je la relâchai, elle sortit en courant de sa chambre. Malheureusement pour elle, j'étais plus rapide et je la bloquai au niveau de l'escalier, la poussant un peu pour qu'elle déboule. Elle dévala les marches et sa tête se cogna sur le sol du premier étage. Tout se vacarme réveilla les deux enfants qui dormaient encore paisiblement, quelques instants plus tôt. Ils sortirent presque en même temps de leur chambre respective et je fus surprise par leur synchronisme. Ils se stoppèrent nette lorsqu'ils m’aperçurent. Je leur fis un grand sourire, les trouvant délicieux d'avant. Il y avait un petite fille de 8 ans et son grand frère qui devait avoir dans les 13 ans. Le petit garçon à sa maman, voilà lequel je prendrais en premier. Il voulait couvrir sa petite sœur et la protéger, il s'avança donc dans ma direction, poussa sa sœur derrière lui. Eh bien, il était une cible encore plus facile. En moins de quelques secondes, mes dents s'enfoncèrent dans son cou. La petite fille, affolée, retourna se cacher dans sa chambre, où elle pensait être en sécurité, alors que la mère tentait de remonter les escaliers, pleurant et me criant d'arrêter. Il ne me fallut pas bien longtemps pour vider le garçon de son sang, j'essuyais ensuite ma bouche sur ses vêtements. Je n'allais tout de même pas utiliser le revers de ma manche, c'était du cachemire et je l'aurais gâché. Le pyjama du garçon convenait tout à fait. Je me relevai et regardai la mère se précipiter sur son fils. « Je peux partir avec votre fille, si vous voulez ? » Je posais la question comme ça, en passant... Elle avait le choix entre sa fille ou l'argent. La réponse arriva vite. La dame se releva en pleurant et retourna dans sa chambre. Les mains tremblantes, elle ouvrit le coffre-fort caché derrière une copie de Monet. Ils n'avaient même pas pu s'offrir un original, c'était pathétique. Elle jeta toutes les liasses de billets sur le lit. J'allai lui emprunter une malle dans son garde-robe et mit l'argent dedans. Une fois qu'elle fut fermée, je m'approchai de la mère et lui touchai doucement la joue, effaçant de sa mémoire tout ce qui avait un rapport avec moi. Quant à la petite fille, j'avais envie qu'elle reste avec ce souvenir. Personne ne la croirait, de toute façon. Je descendis alors l'escalier, traînant le garçon par le pied. Il allait falloir le brûler, celui-là... Ou du moins le jeter à quelque part, mais nous ne pouvions pas le laisser ici. Je tournai dans la cuisine pour voir ce que Volodymyr faisait. « Un nouvel ami ? »
Revenir en haut Aller en bas

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyJeu 22 Déc - 17:24


Je grattouillais le petit cou fragile de Sissi lorsque Watson revins en trainant le garçon derrière elle. La tête de l`adolescent se cogna contre le rebord de la grande ouverture qui menait à la cuisine où je me trouvais. Je ne relevai même pas les yeux vers eux.

-Oui, c`est ma Syrota, ma petite orpheline!

J`avais une voix de gâteau, une vrai mémère folle de son chien. Je la soulevai, elle était légère comme une plume! Elle ouvrit ses yeux marron pour me regarder. Je lui souris :

-Sissi serait enchanté de faire ta connaissance Watson.

Je déposai le chien sur la table et ses pattes faibles tremblantes la firent se coucher au même moment où je me levai. J`enlevai les poils crèmes de mes vêtements en quelques coups et m`approcha de Watson. Arrivé à côté d`elle, je baissai mes yeux un centième de seconde vers sa capture :

-On fait un échange?

J`agrippai le garçon par les cheveux et le traina jusqu`à la porte. Je ne pris pas la peine d`attendre Watson, mais je ne voulais pas non plus laisser Sissi avec des humains répugnant et incapable de soigner une bête aussi délicate. Je sortis à l`extérieur, la nuit couvrais mes actes. Je me rappelai avoir vu une poubelle avant d`entré dans cette maison, je me dirigeai donc vers elle et y jetai le bâtard de Frankoala. La poubelle était un peu petite alors je brisai sa colonne vertébrale et le poussa plus profondément avec mon pied. Il va vraiment me falloir des nouvelles chaussures avant de rentrer! Watson ce fera un plaisir d`aller me magasiner ça! Je fouillai dans mes poche et en sorti des allumettes. Je mis le feu au cadavre et referma la poubelle au bout de quelques minutes. Je remuai un peu le tout, me causant des brûlures au passage, maudit métal chaud!, et poussa la poubelle vers le bord de la route. Le camion à ordures allait passer demain, à en juger par toutes les poubelles misent au chemin. Je retournai vers Watson et Sissi et en entrant dans la maison, je trouvai ma chienne en train de marcher péniblement vers sa couverture. Je la ramassai au passage et lui présenta mes doigts légèrement calciné qu`elle lécha par curiosité. Ne voulant pas m`attarder plus longtemps ici, je fis un signe à Watson qui indiquais que nous allions partir. Avant de quitter la maison, je me tournai vers ma compagne et lui dis :

-Vous avez bien fait connaissance toutes les deux? Je l`espère puisque je vais te la confier je crois. Elle a besoin d`attention et tu vas être excellente dans ce rôle là Watson, j`en suis sûr…

Je donnai un baiser sur la tête de l`animal qui dormait déjà. Une fois dans la rue, je m`exclamai :

-Ça mange quoi un chien au juste?
Revenir en haut Aller en bas

Olena Watson

Olena Watson


Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Forks


Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyJeu 22 Déc - 23:07

Lorsque j'aperçu le petit rat que Holmes tenait dans ses mains, je ne pus m'empêcher de laisser tomber le pied du garçon. Dans un même mouvement, mes sourcils s'élevèrent, perplexe. Étant-il en train de rire de moi ? UN CHIEN ? Un petit chihuahua, qui ne pouvait même pas sortir dans le froid sans un manteau et des bottes pour chien ? Il s'était pris d'affection pour la plus inoffensive bête à poil « Oui, c'est ma Syrota, ma petite orpheline! » Et il lui avait trouvé un nom. Il avait besoin d'un peu d'action, celui-là. Non mais... Un chien ? Je ne comprenais pas du tout son choix. Il aurait pu prendre n'importe qu'elle grosse bête, de ceux qui mordent et vous arrache la jambe en quelques secondes. Ce bébé rat n'était pas un prédateur comme nous, c'était une proie. Plus je le regardais, plus je trouvais que ce chien ferait un bon apéritif. Je ne m'étais jamais nourrit d'animaux, mais je pouvais bien faire une exception pour empêcher que Volodymyr se fasse ridiculiser lors de notre retour en Ukraine. « Sissi serait enchanté de faire ta connaissance Watson. » Je n'en revenais toujours pas. Il devait blaguer. Quelque chose ne tournait pas rond dans sa tête. Le petite chienne se coucha sur la table, encore un peu tremblante. Non, j'étais perdue. Volodymyr arriva à ma hauteur et regarda le jeune garçon sur le sol. « On fait un échange? » Je ne pus lui répondre tellement j'étais vexée. La seule chose que je réussi à faire, ce fut rire tellement cette situation était ridicule. Croyait-il sérieusement que j'allais m'occuper de son nouveau jouet ? Je me retournai pour le voir sortir avec le garçon, me laissant avec la bête. Je serrai la mâchoire, calculant mentalement le nombre de minute qui lui restait à vivre, à cette pauvre Sissi. Si elle avait trouvé un maître qui se souciait d'elle, elle n'était pas tombée sur la meilleure des baby-sitters. Je n'avais qu'une envie, et c'était de vider de son sang cette petite bête comme je l'avais fait quelques minutes plus tôt avec le jeune garçon. Sissi se leva alors, apeurée. Elle s'approcha du bord de la table, reniflant en bas. Peut-être que si elle se cassait accidentellement une patte... ? Je m'approchai de la table et lui donnai un tout petit coup. La chienne tomba du haut de son perchoir, mais se releva aussitôt sans problème majeur. « Merde... » grognais-je dans ma barbe, juste quand Volodymyr revenait. Cela n'avait pas été long. Tant mieux. Il n'en manquait pas gros pour que j'enfonce l'aiguille de mon talon dans le petit crâne de son sale chien. Heureuse d'enfin partir, je jetai un regard noir au chien puis sortie la première. « Vous avez bien fait connaissance toutes les deux? Je l'espère puisque je vais te la confier je crois. Elle a besoin d'attention et tu vas être excellente dans ce rôle-là Watson, j`en suis sûr… » Sérieusement, il devait être en train de se foutre de moi. Je sortie de la maison puis me retournai vers lui. Il avait l'air très sérieux, embrassant même la boule de poil. « Ça mange quoi un chien au juste? » Cette fois, s'en était trop. Malgré tout le respect que j'avais pour Volodymyr, il n'allait tout de même pas continuer avec cette histoire de chien encore bien longtemps. J'éclatai de rire, alors que nous marchions dans les rues sombres de la Grosse Pomme. J'étais pliée en deux, laissant échapper tout l'air que j'étais capable d'inspirer. Je dus rire pendant plus d'une minute et il me fut pratiquement impossible de reprendre mon souffle pour parler. « Tu veux rire de moi ? Tu veux t'occuper d'un chien ? Tu sais ce que cela pourrait faire à ta réputation ? » J'haussai les sourcils, me mordant la lèvre inférieur pour ne pas lui éclater de rire au visage. Quoi que je l'avais déjà fait une première fois ce soir, pourquoi ne pas recommencer. Un second rire fusa alors de ma gorge et je dus me retenir sur une poubelle pour m'empêcher de tomber. Celle-ci était brûlante et je devinai alors où étaient les restes du petit garçon. « Si tu veux garder ta chienne, c'est toi qui décide. Mais ne l'approche pas de moi, autrement elle risque de finir décapitée. »Aaah... Tous ces rires m'avaient donné soif. Je ne me souvenais plus de ce que nous avions ensuite sur notre liste, mais il faudrait bien aller porter cette malle remplie d'argent quelque part, je n'allais pas la porter toute la soirée. Et puis si nous pouvions nous rendre près d'un cours d'eau, j'y jetterais bien ce cabot.
Revenir en haut Aller en bas

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptySam 24 Déc - 15:19


Watson s`époumona et ris très très longtemps, trop longtemps même. Je ne réagis pas à son rire et je regardais Sissi qui avait toujours les yeux fermés. Quand je frôlai sa petite patte, je remarquais que ses os se frottaient anormalement. Cela me pris une seconde pour comprendre que Watson avait déjà essayé de la tuer lorsque je m`occupais de cette saloperie de merde d`HUMAIN!!!! Maudits humains! À cause d`eux ma Sissi venait de se fouler une patte ou pire encore, venait de devenir handicapé pour le restant de son existence pourri! J`ignorais la remarque qui sortit de la bouche de Watson et qui me semblait remplis de mépris. Je sais que je ne dois pas foutre ma réputation en l`air, je ne suis pas con! Je m`arrêtai net et fis un regard très menaçant à mon acolyte pour lui imposer le silence. L`une de mes mains étaient même prête à la toucher si elle n`arrêtait pas. Toujours en la regardant, je lui dis :

-Ça va, tu as finis?

Je n`ajoutai rien de plus et me remis en marche, une colère grandissait silencieusement en moi. Je n`avais pas assez tué d`humain, je devais en tuer pour venger la patte de Sissi. Non! Je devais en tuer pour venger mon honneur, mon honneur stupide qui était en train de se faire détruire à cause d`un attachement répugnant à un chien horrible! Je levai la petite bête qui me semblait de plus en plus faible. Elle grelottait. Mais je ne la lâchais pas, c`était mieux ainsi. Je continuais à marcher, de plus en plus vite, sentant une très faible énergie primitive favorisé mes pas. Je me dirigeai vers notre compte bancaire qui était dans la banque la plus sécurisé de New-York, à l`autre bout de cette ville trop grande. Sissi ne bougeait plus et je me retournai vers Watson pour lui donner de force. J`étais à deux millimètres de son visage et mon sérieux me surpris moi-même. J`avais envie de lui cracher au visage que si elle me refaisait un coup pareille, que je lui réserverais le même sort, mais je me contentais de lui dire doucement :

-Trouve une fillette et donne-la-lui.

Sur ce je poursuivis ma route. Je voulais que cette fillette pleure, ouais, ça se serais drôle! Lorsqu`elle allait se réveiller et constater qu`une petite chienne dormait dans son lit, elle serait contente. Lorsqu`elle essaierait de la réveiller, elle se mettra en crier. Je ris, très fort. Sissi ne se réveillerait pas, parce que je lui avais pris toute son énergie et que maintenant son corps inanimé était entre les mains de Watson. Ces maudits humains, ils allaient comprendre qu`élevé des chiens pour leur simple divertissement était d`un ridicule! Je regardai Watson qui n`avait toujours pas réagis. J`étais encore furieux, mais je ne pouvais pas lui crier dessus, après tout, se n`est pas de sa faute si les chiens existent et que Sissi s`est fait mal à une patte à cause que les humains ont créé des races trop faibles après des croisements irréels! Je lui dis simplement :

-Dépêches-toi, j`ai besoin de tes talents pour notre prochaine mission. Les gars de la banque ne doivent pas savoir que nous sommes passé et surtout que nous avons en notre possession autant d`argent illégal.

Petite pause

-Ah, j`allais oublier, garde en 5%, pour tes dépenses personnels.

J`avais déjà oublié Sissi. C`était un souvenir lointain dans ma mémoire vampirique. Nous avions un boulot à accomplir après tout! Alors, terminons-le!
Revenir en haut Aller en bas

Olena Watson

Olena Watson


Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Forks


Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyVen 30 Déc - 1:49

Alors que je reprenais tranquillement mon souffle, je remarquai que j'avais vexé Volodymyr. Oups... Bon, ce n'était pas bien grave, il allait trouver quelque chose pour contrer sa mauvaise humeur. Une bonne partie de chasse allait lui remontrer le moral... Quoi qu'en fait, était-il de bonne humeur même après une partie de chasse ? Généralement il trouvait le moyen de traiter les humais d'andouille quoi qu'ils fassent. Il fallait simplement apprendre à rire de sa mauvaise humeur, et c'était ce que je faisais. « Ça va, tu as finis? » me demanda-t-il. Je lui fis un grand sourire, pris une grande respiration, puis lui répondit. « Oui, ça devrait aller. » Je ne pris même pas la peine de regarder le chien, l'ayant déjà effacé de ma mémoire, et me remit en route, suivant mon créateur. La valise avec l'argent dans la main, je me souvins qu'il fallait passer à la banque. Voilà où nous allions ! Dire que j'avais oublié cette partie de notre soirée... Enfin, Volodymyr n'était pas au courant que j'avais oublié et c'était mieux ainsi. Autrement, je savais qu'il me l'aurait probablement remis sous le nez. Parlant de nez... L'odeur du rat venait de disparaître. Holmes avait donc enfin tué cette créature ? Mais quelle bonne chose de faite ! Voilà qui était une action pertinente. Un rire me monta à la gorge, mais il fut stoppé par la proximité soudaine avec mon créateur. Je sentais son souffle sur mon visage alors qu'il me parlait. Je soutins son regard sans problème, sachant que je le faisais en de nombreuses occasions. J'étais dans les seules à oser l'affronter et à défier son autorité. Cela m'avait permis de devenir sa compagne de contrebande, mais aussi la personne contre laquelle il peut se fâcher le plus facilement. « Trouve une fillette et donne-la-lui. » Il me prit la valise avec l'argent des mains, me mettant le cabot mort à la place. Je l'aurais volontiers laisser tomber par terre, mais j'avais envie qu'on en finisse avec cette histoire de chien. Je savais me battre quand il le fallait, et ce n'était pas un de ces moments. Je pris donc sur moi et tournai le dos à Volodymyr, m'enfonçant rapidement dans le noir. « Dépêches-toi, j'ai besoin de tes talents pour notre prochaine mission. Les gars de la banque ne doivent pas savoir que nous sommes passé et surtout que nous avons en notre possession autant d`argent illégal. » entendis-je, alors que je partais. J'en avais pour une ou deux minutes à peine. J'hésitais entre ramener la chienne chez ses maîtres et la mettre dans le lit de la petite fille, ou bien entrer chez quelqu'un d'autre... Comme je doutais que la petite fille soit endormie, après le meurtre de son frère, j'optai pour quelqu'un à qui la surprise serait encore plus grande. Me fiant à mon odorat, je repérai une petite fille d'environ 6 ans qui dormait paisiblement dans sa chambre au deuxième étage. La rue étant vide, je pris mon élan et sautai sur le toit de la maison. J'ouvris la première fenêtre qui se présenta à moi, arrivant dans le grenier de la grande demeure. J'empruntai silencieusement l'escalier, puis tournai à gaucher et pénétrai dans la chambre où une gamine dormait. Je ne pus m'empêcher de sourire en voyant ce qu'elle tenait serrer contre elle. C'était une peluche de chien qui semblait toute récente. Elle n'aimerait plus les chiens après le coup que j'allais lui faire, et c'était une bonne chose. D'un mouvement rapide, je remplaçai la peluche par le chien, gardant le chien rembourré avec moi. Je remontai au grenier sans faire de bruit, sortit par la fenêtre et la refermai doucement. Je sautai du toit, jetai la peluche dans la première poubelle, puis couru rejoindre Volodymyr. Nous étions maintenant débarrassés du chien, nous pourrions retourner aux choses sérieuses. « Ah, j'allais oublier, garde en 5%, pour tes dépenses personnels. » Il me tendit la valise et nous reprîmes notre chemin vers la banque. J'allais prendre mon 5% rendu là-bas, je n'allais tout de même pas étendre tout cet argent dans la rue. Je me rappelai aussi que j'avais toujours ce joli collier dans ma poche, qui n'avait pas été ajouté au montant total. C'était une bonne chose. En plus d'avoir mon 5%, j'avais aussi eu droit à des bijoux gratuits. Volodymyr savait comment me garder à ses côtés.
Revenir en haut Aller en bas

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyDim 1 Jan - 15:23


Une odeur humaine me parvint. Je souris. Watson avait accomplit la petite mission que je lui avais donné. L`odeur rose bonbon de l`humaine que Watson avait surement légèrement frôlé m`informait que s`était un très bon choix. Elle avait fait du bon boulot, comme toujours. Nous étions tout près de la banque et toute cette action et ces odeurs humains m`avaient donné faim. Je ne voulais pas tuer un employer de la banque parce que je savais, pour une fois, que ça pourrait vraiment nous nuire de le faire, alors je me permis de faire un petit détour vers un quartier résidentiel avant notre destination finale. J`entendis des pas maladroit dans le noir, juste devant nous. Je m`approchai de ma proie qui avait des arômes d`alcool d`après mon nez surpuissant. Intéressant, je ne m`étais pas saouler depuis… depuis mon humanité! J`adorais cette idée là! Je m`approchai ainsi droit vers cet homme, comme si de rien n`était et lorsque je passai à côté de lui, je l`attrapai par le bras et le lançai dix mètres devant moi. Il était si surpris qu`un cri s`étouffa dans sa gorge alors que son corps se râpait sur le ciment de la rue. Il ne bougeait presque plus, gémissant de douleur. Je regardai Watson un instant et lui dit :

-Encore une distraction, je sais, je sais. Je me dépêche!

L`homme tenta de se relever mais je plaquai son visage contre le sol mouillé avec mon pied. D`un mouvement rapide, je le retournais, tel une crêpe, pour qui se retrouve sur le dos. Il respirait bruyamment, son haleine d`alcoolique chatouillant mes narines. N`ayant pas envie de me salir en me penchant, je lui tendis une main innocente pour qu`il la saisisse. Idiot comme il l`était, il la prit et je le soulevais juste assez pour être à porter de crocs. Je refermai violemment ma mâchoire contre son faible cou, lui cassant des vertèbres au passage, le rendant aussitôt flasque. J`aspirais tout son sang en deux secondes. Je rejetai ensuite son cadavre loin de moi après en avoir eu fini avec lui. Je n`avais presque pas de sang autour de ma bouche, mais je sortis tout de même une serviette de table en tissu avec des motifs de fleurs que j`avais volé dans la maison de l`ex-femme. Je jetai la serviette souillée de sang sur le cadavre et me dirigeai vers Watson avant de poursuivre notre route. Le sang en moi qui était teinté d`alcool ne me sembla pas si différent de la normal. Dommage, ça m`aurait bien plu de pouvoir être saoule de quelque chose. C`est tellement ennuyeux d`être un vampire et surtout d`être moi puisque rien en ce monde ne pouvait m`affecter ou réduire ma puissance. Je soupirai tout en accélérant le pas. Je finis par adopter un rythme vampirique et nous arrivâmes rapidement à notre destination. Je ralentis puis me stoppa à quelques mètres de l`édifice. Il n`y avait pas de lumière. Évidemment, nous devions être aux alentours de trois heures du matin. Aucune banque en ce monde n`était ouverte à une tel heure. Mais celle-ci était particulière, puisque les gardes de sécurités présent 24 heures sur 24 à l`intérieur savaient comment ouvrir les coffres. Au bout d`un bref instant en silence, je me dirigeai vers la porte principale qui était évidemment verrouillé. Au lieu de la défoncer, je toquai trois coups et deux secondes plus tard une silhouette nous apparue derrière la porte givrée. L`homme marmonna sa surprise à son collègue qui lui dit de revenir vers lui. Ce qu`il fit. Je reculai et laissai l`honneur de s`occuper des deux hommes et de la porte à Watson. Elle devait avoir hâte de voir la couleur de son argent, alors je lui laissai la chance d`accélérer le processus. Une fois la serrure défoncée, je me glissais le premier dans la banque et poussa rapidement les deux hommes sur leur gros derrière avant de les laisser à Watson dont je pris la valise. J`inspectai les lieux et fut surpris de ne pas avoir déclenché d`alarme lors de notre ouverture brusque de la porte. L`un des hommes sembla avoir compris mon interrogation et pointa une toute petite lumière qui flashait derrière l`accueil. Je levai un sourcil et m`approchai de lui :

-Arrête moi ça et va ouvrir la salle des coffres si tu tiens à ta vie.

Il déglutit bruyamment et ne broncha pas. Oh, un qui opposait de la résistance! Intéressant, nous pourrions avoir droit à un peu d`action! Mais mon excitation fut stopper par la lumière qui ne cessait de s`éteindre et de s`allumer. Il nous fallait vraiment arrêter ça. Si la police débarquait, toute la ville serait rapidement au courant et ça c`était une très mauvaise idée. Je fis donc un signe rapide à Watson, il fallait agir!
Revenir en haut Aller en bas

Olena Watson

Olena Watson


Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Forks


Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptySam 7 Jan - 20:51

J'étais enfin débarrassée de cette saleté de chien. Une bonne chose. Je me sentais légère depuis que je l'avais troqué contre ce chien en peluche. De retour au côté de Volodymyr, je le suivis au travers des rues de New-York, me demandant quel chemin il pouvait bien prendre. Lorsque l'odeur de cet humain à moitié mort me parvint au nez, je compris que c'était l'heure d'une petite pause. Je regardai mon compagnon se diriger vers sa prochaine victime, me demandant pourquoi il avait choisi un être aussi bas. Il aurait pu entrer dans n'importe laquelle de ces maisons et vider de son sang - ou plutôt de son énergie - n'importe quel humain. Il aurait probablement eu plus de force avec un homme vigoureux qu'avec cette mauviette qui ne savait même pas supporter un peu d'alcool. « Encore une distraction, je sais, je sais. Je me dépêche! » J'avais hâte d'être de retour en Ukraine, je ne voulais pas non plus passer ma vie ici. Mais nous semblions avoir des contres-temps à tout bout de champs. Au départ c'était le mec qui ne se pointait pas, ensuite Volodymyr qui le tuait, la bonne femme qui ne voulait pas nous donner notre argent, le petit rat et maintenant cet ivrogne. Allions-nous finir par faire ce pourquoi nous étions venus ! Alors que je commençais à rager intérieurement, Holmes se releva de sur sa victime, s'essuya la bouche et jeta la serviette sur le cadavre. Enfin, il avait fini ! Direction la banque maintenant, pas question d'arrêter voir qui que ce soit en chemin. À moins que ce ne soit pour des emplettes, je n'allais plus m'arrêter.
Finalement, la banque apparue devant moi. J'avais envie de m'acheter quelque chose de nouveau, quoi que je puisse aussi bien le voler. Mais bref, je voulais que nous soyons sortis de là le plus tôt possible, moi avec ma petite fortune en poche, Volodymyr avec sa grosse fortune dans son coffre-fort. Il toqua contre la porte en vitre et un garde apparut. Effrayé, il alla chercher son coéquipier. Pendant qu'il allait pisser de peur avec son petit copain, je sortis le nécessaire pour défoncer la serrure de la banque. Quelques secondes plus tard, la porte ouvrait. Toujours aussi galant, Holmes passa devant moi et ce fut à moi de fermer la porte derrière nous. Personne ne pouvant le calmer, il s'attaqua alors aux gardes, qui semblaient moins tenir à leur vie que je ne le pensais. « Arrête-moi ça et va ouvrir la salle des coffres si tu tiens à ta vie. » Je ne pus m'empêcher de rire lorsque je le vis faire son fier et ne pas bouger. Wow, les humains étaient vraiment très particuliers. Alors que nous n'avions aucun problème à les tuer s'ils ne désarmaient pas cette alarme, eux ne bronchaient pas, préférant sacrifier leur vie contre de l'argent. Où s'en allait donc la société ? Je sentais le stress de Voloymyr monter de plus en plus et, m'ayant libérer de ma valise, je compris que c'était à moi de jouer. Ayant eu cinq cent ans pour apprendre à maîtriser mon pouvoir, je pouvais maintenant faire des miracles. J'approchai ma main de la joue du gardien et lui subtilisai quelques souvenirs, soit comment désarmer la banque. Il me fallut quelques secondes avant de trouver ce que je cherchais dans la mémoire de l'homme. « 4 - 6 - 1 - 8 -1 - 3. » dis-je à mon partenaire. Un clavier se trouvait derrière le comptoir, il pourrait désactiver l'alarme en entrant ce code. Le premier garde étant dans les vapes, après s'être fait subtilisé un peu de mémoire, ce fut le deuxième qui réagit brutallement. « Co... comment ? » Il recula de peur, et n'ayant pas envie de lui expliquer quoi que ce soit, je pris la première chose qui me tombai sur la main, l'arme à feu de son compagnon, et lui donnai un bon coup à la tête. Il tomba inconscient au choc. Pendant une seconde, je me demandai si je l'avais tué, mais j'entendis rapidement son cœur battre à un rythme régulier. Il ne fallait pas tuer les gardes, du moins, ce n'était pas conseillé. Je jetai un coup d'œil vers la lumière qui semblait avoir stressé Volodymyr et m'aperçut qu'elle ne clignotait plus. Tant mieux, nous avions alors tout notre temps.
Revenir en haut Aller en bas

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptyLun 9 Jan - 18:55


Encore des contretemps et des imprévues! Ça devenait irritant à la fin! Watson touchait toujours l`un des hommes pour obtenir le code, puis elle me le dis rapidement. Bien, nous devions agir dans l`urgence comme leur minable système nous ferais remarquer. J`aperçu facilement le clavier qui devais contrôler l`alarme silencieuse et tapa les chiffres que Watson m`avait dit : « 461813 ». J`attendis que le tout fasse effet et lorsque la lumière ne flasha plus, je souris. Je retournais vers ma seconde qui venait de frapper l`autre type avec un fusil qu`elle venait de piquer à l`autre. Lorsque je fus à côté d`elle, je contemplai son travail comme un père serait fier que son enfant est eu son diplôme. Je lui dis :

-Joli coup, Watson!

Sur ce, je me penchai vers l`homme qui nous avait initialement gentiment et indirectement donné le code de sécurité. Je fouillai dans ses poches et trouva enfin ce que je cherchai. Une carde magnétique. C`était elle qui permettrait d`ouvrir la salle des coffres. Comme elle était attaché au pantalon de l`humain, qu`elle idée stupide, je tirai assez fort pour rompre le lien. Bon, le coffre maintenant. Je me dirigeai vers la porte du fond et passai le code barre sur le lecteur. Une lumière verte s`alluma et la porte se déverrouilla. J`y pénétra donc, suivis de Watson qui était très impatiente de pouvoir prendre sa part. Nous traversâmes un long couloire avant d`atteindre une autre porte. Je passai la clé et elle s`ouvrit. Quel ennui de faire tout ça! Au moins, cette porte s`ouvrit sur une très vaste pièce où tout les murs contenaient des centaines de coffres de très grande taille. C`était dans cette pièce que les riches venaient déposer leur argent qui pourrait ensuite être transigé partout à travers le monde. Comme nous ne pouvions pas prendre l`avion avec autant d`argent, nous étions obliger de procéder ainsi pour récupérer ce qui nous appartenait. Nous n`avions plus ensuite qu`a aller dans notre banque privé en Ukraine et qu`à sortir notre cash. Je savais exactement où était mon coffre. Je pris donc à droite et marchait jusqu`au mur du fond. Je m`arrêtai devant le coffre 66 et cherchai des yeux le clavier mural qui pouvait ouvrir le coffre. Comme chacun d`eux avait un code individuel, il leur fallait des claviers indépendants. Lorsque je le trouvai, à ma gauche, je m`approchai et composai mon code : « 12-31-67-98-33 ». Le coffre se déverrouilla et je l`ouvris. Une fois la porte grande ouverte, on pouvait y voir l`argent bien empiler en une petite montagne. Est-ce que c`était censé être mignon ce truc? Peu importe. J`ouvris la valise et commençai à y mettre tout notre argent. Watson, pris sa part à même la valise pendant que je me dépêchai de tout mettre dedans. Une fois la tâche accomplie, je refermai la valise, puis le coffre. Il nous faudrait jeter cette valise une fois à l`extérieur. Nous marchâmes vers la sortis d`un pas soulagé et nos deux idiots étaient toujours inconscient. Je déposai la valise au sol et couru à la vitesse de l`éclair vers la fenêtre. Parfait, aucun signe de la police ou de qui que ce soit. Je me dirigeai vers la porte dissimilée à droite de l`accueil après avoir ordonné à Watson de leur effacer la mémoire. J`entra dans la minuscule salle avec le passe. C`était la salle des caméras. Je me dépêchai d`effacer des bandes vidéos notre petite venue éclair. Puis je ressortis. Je redonnai à cet homme sa carte magnétique. Et nous ressortîmes enfin de la banque, ni vue, ni connu. Aussitôt dehors, je me mis à courir vers l`extérieur de la ville, sans prévenir ma seconde. Maintenant, nous devions faire la véritable raison de notre venu ici. Comme Watson me suivait plus lentement, je lui dis tout en accélérant :

-Dépêche-toi, je veux y être avant le matin!

J`avais pris soin de jeter la valise dans la forêt lorsque nous y entrâmes. De plus, j`avais gardé de l`argent liquide sur moi, pour un achat que j`allais faire en arrivant à Forks…
Revenir en haut Aller en bas

Olena Watson

Olena Watson


Nombre de messages : 32
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Forks


Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptySam 14 Jan - 1:46

Après avoir assommé le garde avec sa propre arme, je la remis où elle était. Il avait beau la garder sur lui, cette arme, elle n'avait aucun effet sur nous. Les deux étaient maintenant bien sonnés, je me relevai et allai rejoindre Volodymyr qui s'occupait de nous libérer le chemin. Je le suivis jusqu'à notre coffre-fort, restant respectueusement derrière. Lorsqu'il déposa notre argent, je pris la part qui me revenait de droit, m'assurant que le compte y était. Toutefois, je ne savais pas quoi faire de ces liasses d'argent. J'en mis une partie dans mes poches, l'autre alla dans mon décolleter. Cet endroit avait toujours été une merveilleuse cachette. Et puis, ça impressionnait toujours lorsqu'une femme sortait une liasse de billet de cet endroit. J'aimais bien voir les hommes baver lorsque je leur faisais ce joli tour de magie. Rigolant toute seule dans ma tête, je remarquai à peine qu'Holmes rebroussait chemin, maintenant qu'il avait tout déposé. Je le suivis jusque dans le hall de la banque, là où les deux imbéciles étaient toujours dans les vapes. Je m'approchai que ces deux-là, ayant envie de planter mes dents dans leur cou. Ils me donnaient soif. Mais ils ne seraient pas très plaisant à dévorer, je le savais d'avance, c'était clair. À voir leur taille, je savais qu'ils ne seraient pas alléchant. Et puis, leur odeur n'était pas si attirante que ça. Je passai ma main sur le visage de celui qui m'avait fourni le code pour lui effacer tous les derniers évènements. Alors que je m'occupais du deuxième, Volodymyr sortit de la salle où il avait désactivé et effacer les caméras. Voilà, nous n'étions jamais passés. Et même si des policiers trouvaient nos emprunte digitales, je leur souhaitais bonne chance pour les relier à qui que ce soit. Jamais ils ne pourraient nous tomber dessus. Je nous rendais invisible aux yeux des humains, pouvant leur effacer la mémoire. C'était magique, ce dont. Je sortis lentement de la banque, heureuse que nous ayons enfin fini. Alors qu'Holmes se mit à courir comme s'il avait le feu au derrière, je restai derrière, avançant plus lentement, ne souhaitant pas briser mes talons. Ces souliers étaient une œuvre d'art, je n'allais tout de même pas les ruiner aussi facilement ! « Dépêche-toi, je veux y être avant le matin! » Ce qu'il pouvait être grognon lorsqu'il voulait ! Mais finalement, il n'avait qu'à aller à Forks tout seul. Avait-il réellement besoin de moi ce soir ? Ou plutôt ce matin ? J'étais plutôt du genre à vouloir rester jusqu'à l'ouverture des magasins dans la Grosse Pomme pour ensuite rejoindre mon compagnon lorsque mes achats seraient faits. Je pris quelques secondes de pause pour retirer mes souliers et, les gardant en main, j'accélérai pour rejoindre Holmes qui ne semblait pas vouloir m'attendre. Lorsque j'arrivai à sa hauteur, je me plantai devant lui, l'obligeant à s'arrêter. « Demain. Je te rejoins demain. Tu y vois un problème ? J'ai quelques petites choses à acheter avant de quitter cette belle ville ? » New-York se trouvait derrière nous maintenant, mais il était tout de même possible de discerner les lumières de la métropole au loin. Finalement, cette ville me plaisait plus que je ne le pensais, souhaitant y rester un peu plus longtemps. J'allais devoir m'armer d'une paire de lunette de soleil et d'un bon manteau qui cacherait ma peau des rayons de soleil si je souhaitais faire quelques emplettes de jour, mais ce ne serait pas un problème.
Revenir en haut Aller en bas

Volodymyr Holmes

Volodymyr Holmes

Maître du monde, Dieu suprême et meurtrier à temps partiel

Nombre de messages : 810
Date d'inscription : 20/12/2011
Localisation : Avec vous


Feuille de personnage
♦ RELATIONSHIP:

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] EmptySam 14 Jan - 9:17


Il nous fallait encore faire tellement de chemin. La distance entre New-York et ce village insignifiant était presque abusé. Merde, j`allais devoir courir à fond durant des heures et des heures. L`ennui le plus mortel qui soit! Après avoir demandé à Watson de se grouiller un peu, je la sentis s`arrêter. Elle était vexée ou quoi? C`est pas comme si j`avais critiqué ses goûts vestimentaires de luxe! Elle avait toujours détesté quand je faisais ça, comme elle trouvait que j`avais des goûts horribles. Je m`en foutais, comme de toute façon je la laissais elle ou bien les autres femmes du clan me trouver des trucs apparemment « à la mode » à mettre. Je ne voyais pas l`intérêt de tout ça, mais je gardais le silence sur leur dépendance aux vêtements de toutes sortes. Alors que j`avais encore accélérer un peu, Watson me rattrapa. Bon, elle a compris que j`ai besoin d`elle pour effacer la mémoire du vendeur de notre futur résidence. Sauf, qu`elle accéléra encore jusqu`à me dépasser. Je me mis à la regarder, presque vexé par son geste de prendre les devants. Elle me bloqua ensuite le passage sans prévenir, m`obligeant à cesser ma course si je ne voulais pas lui marcher dessus. Je le fis, mais dans un grognement de colère mais aussi de surprise. Bon sang, elle faisait quoi là? Si elle voulait que je m`arrête, elle avait qu`a me le demander! Je ne l`aurai pas fait comme on n`avait pas de temps à perdre, mais au moins elle ne se serrait pas pris un grognement en plein visage! Je me calmai en une seconde lorsqu`elle se mit à parler en me regardant droit dans les yeux. Je l`écoutai en silence, toujours avec un regard pas très rassurant. Elle voulait me laisser tomber pour… magasiner? Je la reconnaissais bien là, mais je ne jouais pas en ce moment! Nous étions en mission très sérieuse! Aucun membre du clan appart nous deux ne savait que nous allions séjourner à Forks durant un petit moment. J`avais informé Watson de mes plans juste avant d`arrivé à New-York et encore, je lui avais caché la majeure parti de mes intentions. Elle avait mal réagit, mais avait fini par sans remettre grâce au feu de l`action que nous venions de vivre. Du moins, c`est ce que je pensais. Peut-être que son petit numéro d`opposition était une conséquence de ma décision de prolonger notre voyage dans un trou perdu? Peu importe, je ne céderai pas à ses caprices! Non, je ne vais pas lui dire oui! Ne lui dis pas oui! Pourquoi tu as envie de lui dire oui! Ne parle pas, ne parle pas, si c`est pour dire ça! Ah merde!

-Si demain à minuit tu n`es pas revenu, je vais venir personnellement te chercher, compris!

Va chien, espèce de mou! Je grognai à moi-même et contournai Watson pour ensuite repartir à la course. Je ne me retournai pas. Elle abusait vraiment de ma patience celle-là! Par sa faute, je vais devoir tuer le vendeur et en trouver un autre pour lorsque nous repartirions, comme il fallait effacer nos traces. Elle venait de tout changer mes plans et ça m`énervait! Elle a de la chance que je l`apprécie, parce que sinon je me débarrasserais d`elle! Watson avait tellement goûté au pouvoir que ça l`avait rendu… un peu comme moi. Mais bon, je ne pouvais pas lui en vouloir malgré tout, c`est moi qui l`avait autant impliqué dans mes projets et ce, dès le premier jour de sa vie de vampire. J`accéléra donc un peu plus. Lorsque le soleil commença à se lever, j`étais enfin arrivé dans cette ville d`attardée. Ce qu`elle pouvait être minuscule et laide! Il me fallait trouver un certain Tomach, Thommra, Thomaz, peu importe son nom! Je me mis donc à sa recherche en soupirant encore de ne pas avoir les doigts de Watson à disposition.
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé




Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Vide
MessageSujet: Re: Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]   Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire] Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Je hais les humains! (O. Watson) [Attention: Langage vulgaire]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
NEW SUN :: 
in your life
 :: nostalgie
-
Créer un forum | ©phpBB | Forum gratuit d'entraide | Signaler un abus | Forumactif.com